African College of Naturopathy
médecines naturelles
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NOTRE RAISON D’ETRE


MEDECINE NATUROPATHIQUE AFRICAINE

De nombreuses personnes souffrent de douleurs ou de maladies chroniques, face auxquelles elles se sentent complètement démunies. Il y a pourtant de grandes chances qu’une solution naturelle et validée par la recherche scientifique existe.


De même, il existe de nombreuses manières d’améliorer votre quotidien grâce à quelques bons réflexes et des habitudes saines qui pourront vous apporter, en plus d’un confort immédiat pour vous et vos proches, de nombreuses années de vie en bonne santé.


Pourtant les médias grand public se font rarement l’écho des avancées prodigieuses des médecines naturelles, également appelées « médecines alternatives et complémentaires». Pas un jour ne passe sans que la science ne vienne valider des traitements naturels de pointe.


On trouve aussi de nouvelles vertus aux coutumes Africains et certains remèdes traditionnelles sont redécouverts par les plus grands chercheurs. Ces informations essentielles seraient sans doute davantage diffusées si elles ne gênaient pas des intérêts puissants et bien organisés. Mais nous croyons qu’il n’y a pas de fatalité.

C’est pour tous ceux qui ont soif de savoir que La Haute école de la Naturopathie Africaine existe.


La Haute école de la Naturopathie Africaine est une ligne directe de la recherche scientifique en santé naturelle vers toutes les personnes de bonne volonté qui souhaitent prendre leur santé en main, pratiquement et facilement.

 

Alimentation et conditions de vie dégradées

Depuis les deux Guerre mondiale et nombreuses guerres civil en Afrique et ailleurs, et le passage aux modes de culture et de vie modernes, notre alimentation s’est beaucoup appauvrie.


D’abord, la consommation de fruits, légumes et produits frais à chutée, au profit des surgelés, conserves, snacks et aliments caloriques dépourvus de nutriments essentiels : pates, pain blanc, riz, pommes de terre.


Ensuite, les légumes et les fruits frais consommés aujourd’hui par les populations des pays industrialisés n’ont plus la même richesse nutritionnelle qu’autrefois. On a constaté que sur le contenu en nutriments de 43 fruits et légumes cultivés ; la teneur en six nutriments sur treize avait diminué dans ces produits, les autres n’ayant pas connu de variation significative.


La teneur en trois minéraux, le phosphore, le fer et le calcium, avait baissé de 9 à 16 %. Celle en protéines avaient baissé de 6 %. Celle en riboflavine avait baissé de 38 % et celle en acide ascorbique (précurseur de la vitamine C) avait baissé de 15 %.


Nous témoignons aussi d’une baisse similaire de la concentration en nutriments ; les taux de calcium, magnésium, cuivre et sodium dans les légumes, et de magnésium, fer, cuivre et potassium dans les fruits, avaient baissé de façon significative. En résumé,  ce déclin indique « qu’un problème nutritionnel lié à la qualité de la nourriture s’est développé pendant ces derniers cinquante ans ».


Les causes de cette déperdition sont liées aux méthodes agricoles d’abord : l’utilisation intensive de pesticides et d’herbicides, les excès d’engrais qui augmentent la vitesse de croissance des plantes et diminuent proportionnellement le temps de fixation des micronutriments. Les techniques intensives épuisent aussi les sols, dont la teneur globale en nutriments diminue dans certaines zones.


En cause également est les traitements de conservation et les rallongements du temps de transport. (…) En cause également, les pratiques de sélection des plantes selon leur rendement. Les agriculteurs préfèrent les plantes qui poussent vite, produisent beaucoup et ont une belle apparence. Mais plus le rendement est élevé, moins la plante dépense d’énergie à absorber des oligo-éléments, et plus la teneur en nutriments est faible. »


Le problème, grave en soi, se conjugue aux mauvaises habitudes alimentaires et à des pratiques « délibérées » d’appauvrissement de certains aliments, par exemple le pain : les boulangers sont passés à des farines très pauvres en minéraux et autres nutriments parce qu’elles sont plus faciles à faire lever et parfois jugées plus esthétiques.


Notre consommation d’aliments de qualité a baissé. Mais nos besoins, eux, ont augmenté. En effet, les conditions de vie moderne, en particulier dans les grandes villes (circulation intensive, vitesse et intensité de la communication, bruit, pollution) provoquent un stress et donc une augmentation de nos besoins en micro-nutriments.


L’état de stress est nécessaire et utile à la survie dans un environnement hostile. Il permet une conscience accrue, une plus grande attention aux détails, des réactions plus rapides. Mais il est nuisible pour l’organisme lorsqu’il devient votre état constant ou prédominant. En effet, votre organisme sécrète des hormones (cortisols, insuline, leptine, adrénaline…) qui nuisent à la bonne santé de vos organes, au renouvellement cellulaire, et accélèrent le vieillissement.


Le stress peut devenir intense et si fréquent que vous ne parvenez plus, dans les rares moments de répit, y compris pendant votre sommeil, à retrouver un état de détente normale, propice à la régénération de votre organisme, à un rééquilibrage hormonal, et au retour au calme émotionnel.


Dans la mesure où il n’est en général ni possible, ni même souhaitable, de renoncer aux avantages des transports et des télécommunications rapides, il devient indispensable pour le maintien d’une bonne santé à long terme, de modifier votre alimentation et votre mode de vie pour mieux lutter contre le stress.


Il y a un siècle, la vie comptait des occasions permanentes de s’arrêter, se poser, au moins sur le plan intellectuel. Les transport, qui se faisaient souvent à pied, à cheval, à bicyclette, l’absence de téléphone, la lenteur du courrier, donnaient le temps de réfléchir et de méditer. Les causes de stress étaient rares.

Cela fait que nos Ancêtres et arrières-grands-parents n’avaient pas besoin, autant que nous, de se préoccuper de leur nutrition, ni d’apprendre à se relaxer.

 

Nos corps ont besoin de nutriments essentiels

Pour fonctionner correctement, notre organisme a besoin de matières énergétiques (glucides des céréales, graisses d’origine animale et végétale) et de matériaux de construction des tissus (protéines tirées de la viande, du poisson, des œufs et des légumes) dont le manque provoque une sensation de faim.


Il a, plus spécifiquement, besoin de certaines graisses que le corps est incapable de synthétiser lui-même (acides gras essentiels), de certains acides aminés qu’il ne sait pas fabriquer non plus (acides aminés essentiels), de nutriments comme les minéraux (calcium, magnésium, soufre), les oligo-éléments (fer, zinc, cuivre, manganèse, bore, sélénium, molybdène, etc.), les vitamines (A, B, C, D, E, K) et d’autres micro-éléments bioactifs que seule l’alimentation peut et doit lui apporter.


Ces nutriments sont des cofacteurs métaboliques indispensables au fonctionnement des milliers de réactions enzymatiques qui interviennent à tout instant, pour l’entretien et la régénération de tous les tissus et organes : systèmes digestif, respiratoire, ostéoarticulaire, cardiovasculaire, neuropsychique, immunitaire, endocrinien, etc.


Or, contrairement aux manques de substances énergétiques et protéiques, les carences en nutriments essentiels ne sont pas détectées immédiatement par le corps. Aussi, des processus vitaux à moyen et long terme ralentissent et se dérèglent, mais nous n’éprouvons pas de sensation équivalente à celle de la faim.


Ces dérèglements peuvent engendrer une plus grande sensibilité au stress et aux infections avec fatigue, anxiété, angoisse, insomnie, faiblesse musculaires, douleurs diffuses, crampes, dysfonctionnements gastro-intestiaux, tachycardie, vertiges, migraines, voire malaise et dépression ; mais nous n’interprétons généralement pas ces symptômes comme résultant de carences nutritionnelles.

 

Des carences qui ont des conséquences graves

Nous laissons donc les carences s’installer, pendant des années, voire des dizaines d’années, puis nous nous apercevons un jour que nous avons contracté une maladie dégénérative comme l’arthrose, l’ostéoporose, le diabète, des troubles cardiovasculaires, maladies auto-immunes dont le cancer, voire neuropsychique comme l’Alzheimer.


Mais nous ne faisons pas suffisamment le lien entre la qualité de notre alimentation et notre santé. Pourtant, les statistiques témoignent d’une augmentation sans précédent des maladies chroniques dans la population Européens. Actuellement, pas moins de vingt millions de personnes en Suisse, France et Belgique sont prises en charge à 100 % par la Sécurité Sociale pour des maladies de longue durée (Affection Longue Durée, ALD), soit un assuré social sur six. Les ALD concernent en général des pathologies lourdes, voire invalidantes.


Une étude réalisée sur les momies de l’Egypte Antique a permis de démontrer que les tumeurs cancéreuses étaient quasiment inexistantes à l’époque. Les études réalisées sur les squelettes datant du paléolithique révèlent que nos ancêtres chasseurs-cueilleurs n’avaient ni caries, ni diabète, ni cholestérolostéoporose.


Aujourd’hui encore, on constate que les tribus Africains qui n’ont pas adopté le mode de vie des pays industrialisés peuvent avoir des taux très bas de maladies qui sont courantes en  Occident : les Makas au Cameroun, les Ishekiri au Nigeria, les Fang du Gabon et les Inuits ont peu ou pas de maladies cardiovasculaires; les Tivs du Nigeria, les Indiens Maoris de Nouvelle-Zélande ne connaissent pratiquement pas l’arthrose, y compris à un âge très avancé; les adolescents n’ont pas d’acné dans les sociétés traditionnelles d’Equatoriale Guinée, d’Amazonie ou de Nouvelle-Guinée, et les Japonais de l’ïle d’Okinawa vivent pour la plupart au-delà de cent ans, etc.


C’est sur la base de ce constat que les chercheurs en médecine naturelle (on dit aussi «médecine intégrative», car beaucoup d’entre eux combinent l’approche naturelle et nutritionnelle avec la médecine conventionnelle) affirment qu’il y aurait un lien entre les deux phénomènes : carences en micro-nutriments et déséquilibres du mode de vie d’une part, hausse des maladies chroniques (dites de civilisation : dépression, asthme, diabète, colopathies, néphrite, cardiopathies, arthrose, polyarthrite, ostéoporose, cancer, etc.) d’autre part.

 

Les nouveaux défis de la médecine moderne

Actuellement, deux personnes sur cinq décèdent de maladie cardiovasculaire dans les pays industrialisés. Une personne sur quatre est frappée par le cancer. Si l’espérance de vie s’est allongée de 20 ans depuis la Seconde Guerre Mondiale, la durée de vie « en bonne santé » ne progresse plus depuis ces derniers cinquante ans ! De plus, pour la première fois de l’histoire moderne, la durée de vie de la nouvelle génération sera plus courte que celle de la génération qui la précède.


La médecine occidentale a beaucoup apporté pour soigner les maladies infectieuses, ainsi que pour « sauver des vies » dans des situations d’urgence (infarctus, AVC, hépatite virale, intoxication, accidents de la route…). Mais aujourd’hui, les « progrès » de la médecine occidentale ne consistent plus vraiment à guérir de nouvelles maladies.


Ce que fait la médecine moderne, c’est qu’elle parvient à maintenir en vie de plus en plus longtemps des personnes en très mauvaise santé. Ce prolongement artificiel de l’existence se fait au prix de traitements chimiques ou chirurgicaux souvent partiellement ou totalement invalidants, douloureux, notamment à cause des effets secondaires, et en général extrêmement coûteux pour l’assurance maladie.


Si les malades ne gagnent peu, ou rien, à ces « progrès », ce système est en revanche fortement créateur de postes et de rentes de situation pour le secteur hospitalier. Il est aussi source de profits importants pour les vendeurs de médicaments qui ont les faveurs de grandes pharmaceutiques.


Enfin, il devient de plus en plus rare que l’industrie pharmaceutique découvre de nouvelles molécules capables de soigner. La plupart des « nouveaux » médicaments qui apparaissent sur le marché ne sont que des reprises d’anciennes formules, légèrement modifiées pour permettre le dépôt de nouveaux brevets. Leur justification est donc surtout commerciale et financière, non médicale. On peut donc parler de crise, voire d’impasse, du système de santé conventionnel.

 

Les réponses des médecines naturelles 

Les praticiens et défenseurs des médecines alternatives, donc, font un lien entre les carences chroniques en micro-nutriments et la mauvaise hygiène de vie (ce qui inclut le stress, le manque d’activité physique adaptée, et les problèmes d’ordre mental), et l’augmentation des maladies chroniques.


Ils cherchent à soigner les maladies en s’attaquant non aux symptômes, mais aux causes, en faisant changer au patient ses habitudes alimentaires, ses habitudes de vie, et éventuellement en lui recommandant des compléments nutritionnels.


Les médecines naturelles (ou intégratives) fonctionnent avec des méthodes et des produits naturels, dépourvus de toute toxicité pour l’organisme, et donc de tout effet secondaire néfaste.


Elles ne font pas courir aux patients les risques traditionnels de la chirurgie et des médicaments chimiques allopathiques. En complément des traitements conventionnels, elles peuvent jouer un rôle décisif pour renforcer le système immunitaire, réduire les effets secondaires des traitements, et accélérer la guérison.


Bien entendu, les médecines naturelles sont très axées sur la prévention : s’il est souvent possible de soigner des maladies, même graves, grâce à elles, leur principal intérêt reste d’indiquer aux personnes ce qu’il faut faire, manger et penser pour éviter de tomber malade de prime abord.

 

Notre approche est plus respectueuse des personnes

Nous les médecines naturelles sont souvent également appelées « holistiques » = (le tout), parce qu’elles tiennent compte de l’ensemble de la personne humaine : corps, esprit, âme. Nous ne considérons pas les patients comme des objets passifs auxquels on applique un traitement standardisé. Au contraire, nous cherchons à responsabiliser les patients, à leur expliquer le fonctionnement de leur corps et les mécanismes qui entraînent des maladies.


Notre but est que chacun puisse savoir, comprendre, et choisir sa médecine, en fonction de son mode de vie, de son tempérament et de ses besoins particuliers. C’est donc une médecine responsable, où le médecin accompagne le patient sans lui appliquer des traitements qu’ils ne comprend pas, sans relation de soumission/domination.


Des études ont d’ailleurs conclu que l’implication dans une relation personnelle de la part du thérapeute ou du médecin avec son patient pouvait avoir un effet décisif pour la guérison. Le système de santé mondial actuel, qui pousse les médecins à travailler « à la chaîne », ne consacrant à leurs patients que 15 minutes en moyenne par consultation, pèse sur la qualité de leurs relations avec le malade, ce qui peut avoir des effets négatifs sur les chances de guérison.


Enfin, si les médecines naturelles reconnaissent l’intérêt décisif des nouvelles techniques médicales, notamment en imagerie et en analyses, pour diagnostiquer et soigner des maladies autrefois incurables, elles insistent sur l’importance pour le médecin de ne pas devenir un simple technicien dépendant des données produites par son ordinateur. Elles laissent à l’examen clinique du malade une place centrale dans le diagnostic et le suivi.


L’observation clinique implique pour le médecin non seulement d’observer attentivement son malade, mais aussi d’écouter son histoire, de relever l’évolution de ses symptômes et de l’ausculter. Autrefois, les médecins apprenaient même à se servir de leur goût ou de leur odorat. Aujourd’hui, l’évolution des techniques médicales conduit à une distance de plus en plus grande entre patient et médecin, qui peut mener à des erreurs de diagnostic et à des interventions inadaptées.


Les médecines naturelles ne sont donc nullement réservées aux personnes «irrationnelles ». Par notre capacité à revenir aux sources de la médecine et à prendre en compte la situation complexe dans laquelle se trouve chaque malade, nous nous positionnons en médecine de pointe. Nous représentons une possibilité réelle pour chaque personne de prévenir des maladies, et de guérir, y compris là où tous les traitements conventionnels ont échoué.

 

Gardons l’esprit critique

Bien entendu, il importe de garder un esprit critique face aux médecines naturelles et d’éviter de tomber dans l’esprit de secte ou de gourou, marabout qui sait tout. Si les médecines naturelles offrent de nombreux espoirs, elles ne peuvent évidemment pas tout faire.


Enfin, ainsi que dit précédemment, dès qu’on se trouve en situation d’urgence, les médecines intégratives sont dépourvues d’intérêt. Il n’y a pas d’autre possibilité que d’appeler les pompiers ou l’ambulance, et d’entamer les protocoles habituels de la médecine d’urgence car, elle seule permet de sauver des vies dans ces situations. Voilà pourquoi nous les médecines naturelles promouvoir la prévention, la prévention et la prévention encore.


De plus, le marché des compléments nutritionnels représentant aujourd’hui plus de 30 milliards de dollars Américain au niveau mondial, il ne faut pas se voiler la face : ce secteur a attiré de nombreuses personnes plus intéressées par leur porte-monnaie que par la santé de leurs clients.  


Les médecines naturelles sont indispensables pour notre santé.

Il me paraît indispensable pour notre santé de connaître ce que la médecine conventionnelle nous cache, car en haut lieu (pas votre médecin), ils ne veulent pas votre santé mais grossir leur portefeuille.

Si le serment « Ne pas nuire » a été retiré des écoles de médecine, ce n'est pas pour rien.

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